Le capital humain, première richesse du SMDEA
Le Capital Humain constitue la première richesse du SMDEA. Forts de leur engagement et de leur savoir-faire, les 230 agents du SMDEA contribuent chaque jour pour assurer, en régie directe, les services publics pour les communes qui lui ont transféré leurs compétences.
Toute l’organisation du SMDEA vise à garantir les meilleurs services aux usagers, au prix le plus juste.
Les compétences des agents du SMDEA au service des abonnés 7j/7 et 24h/24
Le SMDEA compte 224 agents avec de grandes compétences très diverses. Le SMDEA est organisé en 4 directions, la direction technique, la direction administrative et financière, la direction des ressources humaines et la direction de l’information. Les hommes et les femmes qui composent les équipes du SMDEA sont ingénieurs, électromécaniciens, producteurs d’eau potable, agents d’exploitation de station d’épuration, releveurs, chargés d’affaires, secrétaires, comptables, juristes, financiers, contrôleurs d’installations, dessinateurs, informaticiens……
Index égalité professionnelle
Créé par la loi du 5 septembre 2018 pour la liberté de choisir son avenir professionnel, l’Index de l’égalité professionnelle permet aux entreprises de mesurer les écarts de rémunération entre les femmes et les hommes. L’Index est une note sur 100 points, calculée chaque année à partir de 4 ou 5 indicateurs suivant la taille de l’entreprise :
- L’écart de rémunération femmes-hommes,
- L’écart de répartition des augmentations individuelles,
- L’écart de répartition des promotions (uniquement dans les entreprises de plus de 250 salariés),
- Le nombre de salariées augmentées à leur retour de congé de maternité,
- La parité parmi les 10 plus hautes rémunérations.
INDEX 2024 (données 2023)
Écart de rémunération femmes-hommes : 38 points
Ecart répartition des augmentations individuelles : 35 points
Augmentation au retour de congé maternité : 15 points
Parité parmi les 10 plus hautes rémunérations : 10 points
Total : 98 points
Le SMDEA s’engage à mettre en œuvre des mesures de correction annuelles ou pluriannuelles afin de corriger les écarts de situation entre les femmes et les hommes.
Ces mesures seront définies dans le cadre de la négociation obligatoire sur l’égalité professionnelle.